Le 21 mars avait eu lieu le webinaire “Regards croisés sur les enjeux de l’édition féministe France Québec”. Etaient invitées Oristelle Bonis (iXe), Marie Hermann (Hors d’atteinte), Stéphanie Barahona (les éditions du Remue-Ménage) et Isabelle Boisclair (professeure en études littéraires et culturelles à l’Université de Sherbrooke). Il aura fallu une bonne heure d’échanges sur ce qu’éditer en féministes voulait dire pour que quelqu’un fasse la remarque de la blancheur du panel d’invitées. La question “existe-t-il des éditrices féministes non blanches ?” a été posée, ce à quoi j’avais répondu oui, blast et shed par exemple.
J’ai donc été très heureuse de voir qu’une d’elles faisait partie des maisons ayant fondé le collectif Editer en féministes.
Vous pouvez retrouver leur tribune ici.
Et le programme de leurs premières Assises là.
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Sarah Ghelam (11 mai 2022). Assises de l’édition féministe. Genre de l'édition. Consulté le 14 janvier 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/oz36